vvjack.be/PORTAIL

banniere1.gif

Mardi 19 mars 2024

Index

Nouvelles

Photos

Chants

Pilotes Belges

350 (DIA)

Vera Lynn

350 (1)

350 (2)

Hist 350Sqn

Spits 350

Liens

Forum

 

Articles


609 Squadron Photos

Achtung Typhoons

A ** RAF Squadrons **

Aviateurs inhumés sur la Pelouse d'Honneur a Bruxelles.

Avions "DUXFORD"

Belges a Dieppe

Belges a la 609

Belges (Ambiorix en Angleterre)

Belges (Balbo Roelandt)

Belges (Biographie R Lallemant)

Belges (Charles Demoulin)

Belges dans la Bataille d'Angleterre

Belges dans la Guerre

Belges dans la RAF 40 45 (LISTE)

Belges du Coastal Command 1940 (SQN 235 et 236)

Belges Du Vivier (Premier Squad Leader RAF)

Belges en Afrique

Belges (Francois Venoesen)

Belges (Georges Jaspis)

Belges (Henri Gonay)

Belges (Histoire "Drole" C Demoulin)

Belges (Histoire du 350 SQN)

Belges (Jean de Seyls)

Belges le 6 Juin 44

Belges (Lejeune)

Belges (Le jour J de Jean Morel)

Belges (Les Belges dans la RAF photos diverses)

Belges (Les commandants du 350 SQN)

Belges (Les Pilotes Belges SQN350 et 349)

Belges (Les Premiers Belges en Angleterre)

Belges (Le Squadron 349)

Belges (Liste des Avions 350Sqn)

Belges (L'odyssée de Michel Donnet et de Léon Divoy.)

Belges (Londres 21 Juillet 1941)

Belges (Ma mission la plus dangereuse Lucien Leboutte)

Belges (Maurice Balasse)

Belges (Mony Vanlierde)

Belges (Offenberg)

Belges (Ortmans 2 freres)

Belges (Patriote Illustré)

Belges (Pensées De Raymond Lallemant)

Belges (Photos 349 SQN)

Belges (Photos Allemagne 45)

Belges (Photos Anciens de 1940 (1990) )

Belges Photos Pilotes Belges RAF

Belges (Pilotes et Victoires )

Belges (Raymond Lallemant)

Belges (Raymond Lallemant (Extrait))

Belges (Un Combat de R Lallemant)

Belges (Van de Poel (Un pilote du Sqn350))

Belges (Vanderperren Jaak)

Belges (VanRolleghem)

Belgian Congo Air Force ??

Bilan de la luftwaffe sur la France en 1944

Coastal Command à l'offensive - Norvège mi 1944/45

Cocardes

Correspondances Grades

Décés de Mike Donnet

Dessins

Dessins Avions RAF

Dessins Bombardiers légers RAF

Dessins Chasseurs Anglais

Dessins Spitifires V du 350 Sqn

Dessins Spits de 45 et les Anciens de 40

Diaporama Sqn350 JANVIER 42

D'un repas a l'autre

Extrait ..... (Marc Lévy)

Films RAF 01

Films RAF 02

Flags Avions et Voitures RAF

Flying Duty

Fonds d'écran RAF

Grades RAF

Histoire de Bouton

Hommage a un équipage de Lancaster

Hommage aux participants de la Bataille d'Angleterre

Interview Closterman (Texte)

Interview de Pierre Closterman (Video)

La 2nd Tactical Air Force (Normandie 44)

La bataille d'Angleterre

La bonne planque de Gondregnies

L'affaire de Dunkerque

La RAF et la WWII

Le Albemarle ( Un bizarre )

Le Lysander et le Walrus

Les avions du Coastal command (En couleurs)

Les B17s de la RAF

Les B25 et A20 (Couleurs)

Les Beaufighters

Les Bombardiers Anglais

Les Bristol Blenheims

Les Chasseurs Anglais

Les Halifax

Les Halifax (en couleurs)

Les Hawker Hurricanes

Les Hawker Tempests

Les Hurricanes (Fabrication Hurricanes)

Les Hurricanes MK IIC

Les Hurricanes (Versions (Synthese))

Les Lancasters

Les Lancasters (Décollage Film couleurs)

Les Lancaster Sqn 103

Les Mosquitos

Les Mosquitos (Du Bois au Mosquito)

Les Mosquitos (Photos couleurs)

Les Pilotes du 609 (Document)

Les pilotes du SQN611

Le Spitfire MH434

Les PRU a la recherche des V1

Les PRU (Photos couleurs)

Les Spifires V du 350 Sqn

Les Spitfires

Les Spitfires (Couleurs)

Les Spitfires en couleurs

Les Spitfires en Sicile

Les Spitfires (Petit Film Spitfire)

Les Spitfires PR

Les Spitfires (Versions (Synthese))

Les Spitfires (Video Spitfire)

Les Spits BOB

Les Stirlings

Les Stirlings (en couleurs)

Le Stampe SV4

Les Typhoons

Les Typhoons (En couleurs)

Les Typhoons (Plan)

Les villes pour cible

Les Westland Whirlwind

Lettre de Dowding BOB

Lettres et Squadrons RAF

Manuel Anglais P51

Manuel Beaufighter

Manuel du Typhoon

Manuel Lancaster

Manuel Mosquito

Manuel Spitfire XIV

Manuels Spitfires et Hurricanes

Manuel Wellington

Operation Spartan

Percée d'Avranche 44

Peter Townsend

Pierre Closterman

Pilotes (Chasse) RAF

Posters RAF

Profil des Differents Spitfires

Publicités RAF

Quelques C47

Quelques Pilotes de la RAF

RAF (Actualités RAF FAF 1939)

RAF (Alan Deere)

RAF (Attaque de Tarente)

RAF Uniforms 39 45

Raid Berlin/Essen/Stettin 1943 Extrait Sonore

Termes RAF

Tunderbolts en couleurs

Typhoon sur le ventre

Une Base en Normandie JUIN 1944

Un pilote francais en Normandie

Un Raid en Images

Un Vol avec Liberty Belle

Vera Lynn (Pochettes)

Vera Lynn Videos

Contacts


Webmaster :
VAN VLASSELAERE JACQUES

Envoyer un message



Déjà 8632768 visiteurs

L'invasion 1940


L'invasion
Le 10 mai l'armée allemande lance son offensive générale sur le front Ouest. Elle semble reprendre son plan de 1914, modernisé, en un mouvement plus ample qui inclut l'invasion des Pays-Bas.
Aussitôt, le commandant en chef des forces alliées, le général Gamelin, déclenche « la manœuvre Dyle » en faisant entrer en Belgique sur le front Anvers-Louvain-Gembloux-Namur des troupes à la rencontre de l'ennemi (la 1ère armée du général Blanchard, la 9e armée du général Corap, et le corps britannique du général Gort, la 7e armée du général Giraud devant progresser jusqu'à Breda pour faire sa jonction avec l'armée hollandaise).
Le 11 mai, les premiers contacts avec l'ennemi sont pris par les détachements avancés ; le corps de cavalerie mécanique ( général Prioux ) couvre la marche et permet l'installation de la 1ère armée sur la position de résistance Wavre-Gembloux-Namur avec mission d'assurer cette couverture jusqu'au 14 mai.
Se déroule alors la bataille de Gembloux. Des combats acharnés durent les 14 et 15 mai menés par les 1ère division marocaine et 15e division d'infanterie motorisée. Mais la 1ère armée reçoit l'ordre de retraite vers la Sambre en raison des évènements tragiques survenus sur la Meuse, à 100 km au sud.

Le 13 mai, la principale offensive allemande frappe à travers les Ardennes, perce le lendemain les lignes françaises à Sedan. Le 14 mai, la Meuse est franchie à Dinant, Givet, Monthermé, Sedan. Les blindés ennemis avancent soutenus par l'aviation d'assaut et parviennent à séparer la 9e de la 2e armée.
Des contre-attaques ont lieu, exécutées notamment par les 1ère et 3e divisions cuirassées de réserve, la 3e brigade de spahis, etc. Les combats de Stonne se déroulent avec intensité. Le 18 mai, l'ennemi prend l'ouvrage Maginot de La Ferté où la garnison périt.
Les Allemands orientent leur marche à l'ouest et passent le canal des Ardennes ; le 16 mai, les chars du général Guderian atteignent la vallée de l'Aisne tandis qu'en Belgique le groupe d'armées allié est enveloppé par trois armées allemandes. Une contre-attaque à Montcornet avec trois bataillons de chars est vaine. Le 19 mai Gamelin prescrit une contre-offensive générale mais il est limogé par Paul Reynaud, président du Conseil, et remplacé par le général Weygand qui décide de mesures défensives pour sauver ce qui peut l'être encore.
Le 25 mai l'ennemi prend Boulogne-sur-Mer et Calais le 26. La bataille se déroule dans Lille où tient le 4e corps d'armée dont les survivants doivent se rendre le 31 mai. Entre-temps, l'armée belge encerclée a capitulé le 28 mai.
A Dunkerque, l'évacuation maritime de la poche alliée où s'entassent 500 000 combattants et 80 000 civils sans vivres a commencé. Le 4 juin, les Allemands occupent le port et la ville. 240 000 soldats britanniques, 115 000 Français, 16 000 Belges et Hollandais ont été sauvés sans leur matériel. Le corps de bataille français est anéanti.

L'action principale ennemie se porte alors contre la défense organisée par Weygand. Depuis le 23 mai, la lutte fait rage au sud d'Amiens, au plateau de Dury où résistent les Coloniaux. L'unité commandée par de Gaulle contre-attaque au Mont-de-Caubert sur la Somme.
Le 5 juin, à l'aube, les Allemands repartent à l'offensive avec 47 divisions assaillant les 6e, 7e, et 10e armées. La bataille est très violente sur l'Aisne, la Somme, l'Oise. Le front français est percé à Condé-Folie, à Dury, à Roye. En quelques jours, la 7e armée est refoulée vers Beauvais et les unités écossaises sont encerclées à Saint-Valéry-en-Caux. La 6e armée se replie derrière l'Aisne. Le 11 juin, le groupe d'armées n° 3 recule en direction d'Orléans. Paris est déclaré ville ouverte. Le Grand Quartier Général s'installe à Briare, dans le Loiret. Les Allemands entrent dans Paris le 14 juin au matin. Ils ont atteint aussi la Normandie.
Le 9 juin, l'ennemi attaque la 4e armée à Rethel. L'Aisne est franchie. Du 11 au 14 juin, les Allemands prennent Reims, Epernay, Châlons-sur-Marne, Provins, Saint-Dizier, Troyes. Leurs unités se rabattent au sud-est et entrent à Besançon le 16 au soir. Les 2e, 4e, et 6e armées françaises sont quasiment anéanties ; les 3e, 5e, et 8e armées sont encerclées dans l'Est.
L'ennemi arrive à Roanne, Mâcon, Bourg-en-Bresse, Pontarlier, menaçant l'armée des Alpes.
Les équipages des ouvrages Maginot n'ayant pas effectué le repli général sont restés seuls enfermés depuis le 14 juin. Ils vont résister à outrance.
Dijon, Metz, Nancy, Epinal, Lunéville, Strasbourg sont pris. Toul capitule après un combat désespéré.
Sur la Loire, qui représente une ligne de défense naturelle, des unités défendent les ponts. Tels, à Saumur, les cadets de l'école de cavalerie, ceux de l'école de Saint-Maixent, de l'école de Fontainebleau, avec leurs cadres, retardent l'ennemi, comme d'autres combattants le font à Sully-sur-Loire, Jargeau, etc.
Les colonnes de l'envahisseur s'emparent d'Alençon, de Chartres, du Mans et de Laval, entrent en Bretagne et atteignent l'Atlantique. Là se déroule le drame de Saint-Nazaire : 6000 soldats britanniques ont embarqué sur le paquebot Lancastria pour évacuer en retraite mais le navire est bombardé par des avions allemands et il sombre rapidement ; ce naufrage fait environ 5500 morts.


Du 20 au 25 juin, l'armée des Alpes sous le commandement du général Olry tient en échec les Allemands et les Italiens ( Mussolini a fait déclarer la guerre à la France le 10 juin ). Lyon, ville ouverte, ne subit pas de combats. Le 20, l'armée italienne passe à l'offensive en même temps que la 12e armée allemande. Celle-ci est stoppée en Ardèche et en Isère tandis que les Italiens sont bloqués en Tarentaise, en Maurienne, dans le Briançonnais, le Queyras, en Ubaye. Leur attaque contre Nice ne peut dépasser Menton. La ligne Maginot, les troupes de forteresse, les troupes alpines rejettent partout les assaillants.
Le 24 juin le Grand Quartier Général s'adresse aux unités luttant encore et annonce la fin des hostilités pour le 25 juin car l'armistice a été signé dès le 22 à Rethondes ( Oise ). Des ouvrages Maginot vont résister tout de même, jusqu'à cinq jours après le cessez-le-feu.
Le 17 juin, le général de Gaulle, sous-secrétaire d'Etat à la Guerre, part en avion à Londres pour y continuer la lutte aux côtés de Winston Churchill et, le 18, il lance son célèbre appel à la résistance sur les ondes de la B.B.C.
La France a perdu 92 000 morts, 250 000 blessés ; en outre, 1 850 000 hommes sont prisonniers de guerre dont 1 500 000 vont être internés en Allemagne. L'armistice scinde le pays en deux, séparé par une ligne de démarcation ; le gouvernement du maréchal Pétain s'installe en zone dite « libre » à Vichy.

L'aviation française a engagé environ un millier d'appareils dans la bataille de France mais leur emploi semble avoir été trop dispersé. Le 10 mai, les aviateurs français abattent 49 appareils ennemis, perdant 9 avions tandis que bon nombre d'appareils sont détruits au sol par les raids inopinés des bombardiers allemands. L'aviation ne peut empêcher l'avancée allemande mais, pourtant, en trois semaines, elle effectue 2 640 sorties et abat 159 appareils. Les combats aériens de juin accentuent la situation et épuisent les pilotes. L'aéronavale attaque des objectifs italiens ; un de ses avions exécute même un raid contre Berlin qu'il atteint de plusieurs bombes. Le 24 juin, l'aviation enregistre sa dernière perte ; en tout, elle a perdu 194 pilotes tués. Les dizaines d'avions qu'elle a abattu vont manquer à la Luftwaffe dans la bataille d'Angleterre qui va se dérouler à l'été 1940.

Commandée par l'amiral Darlan depuis 1937, la marine nationale a un rôle majeur : assurer la liberté des communications entre la métropole et l'empire français d'outre-mer et obtenir la maîtrise des flots en Méditerranée. Les hostilités ouvertes, elle assure avec succès les patrouilles et les escortes de convois ; au cours de la campagne de Norvège, ses forces concourent à la réussite des opérations. Elle perd 7 torpilleurs dans l'opération d'évacuation, à Dunkerque. Des fractions de ses forces se trouvent aussi en Angleterre, et une autre à Alexandrie, en Egypte. En mai-juin 40, ses unités principales, en Méditerranée, n'ont guère la possibilité d'y rencontrer d'ennemi allemand. Afin de neutraliser la marine italienne, les Français bombardent le port de Gênes le 14 juin, écartant toute menace contre leur littoral. Après l'armistice, la flotte se trouve invaincue certes mais cantonnée dans le port de Toulon et les ports coloniaux tels Dakar, Oran, Casablanca. En Extrême-Orient, elle veille sur l'Indochine, agacée par le Siam, voisin exigeant, et fait face à l'expansionnisme japonais.

Source : MINDEF/SGA/DMPA Mission Mémoire

Imprimer la page  Imprimer la page

Dernière modification le : 17/05/2010 @ 16:07
Catégorie : Histoire

Recherche


Google

Sur ce site



LE BAR DU 350SQN
Cliquez sur l'insigne ..

NewsLetter


Inscrivez-vous pour avoir des nouvelles de ce site.

Votre adresse email :

Se désabonner

Calendrier


<< Mars  2024 >>
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
26 27 28 29 01 02 03
04 05 06 07 08 09 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 31

Sondage


Que pensez-vous de ce Site ?

Bien

Bof ...

Rien

Résultats

Retour début de page





Page générée en 0,047 secondes